Tout le monde sait qu'il est strictement interdit de conduire en état d'ébriété. Prendre le volant après avoir levé le coude à table ou après une nuit de réjouissances expose sa vie et celle des autres à d'incroyables dangers. D'autre part, l'une des principales causes de décès des jeunes est représentée par les accidents de la route, souvent causés par une conduite imprudente. Découvrez dans cet article les conséquences de conduire sous l'emprise de l'alcool.
Conduite sous l'emprise de l'alcool : quelles sont les conséquences ?
La peine de conduite sous l'influence de l'alcool est proportionnelle à la quantité d'alcool présente dans le sang du conducteur. Il existe un seuil minimal d'alcoolémie qui, s'il n'est pas dépassé, n'entraîne même pas l'imposition d'une sanction administrative. Continuez à lire l'article pour avoir plus d'infos. Cette valeur équivaut à 0,5 gramme par litre (g/l). Une fois le seuil indiqué dépassé, les notes douloureuses commencent. Si le taux d'alcoolémie détecté est compris entre 0,5 et 0,8g/l, seule une infraction administrative est configurée. Le contrevenant est puni d'une sanction pécuniaire allant de 532 à 2 127 euros ; à cela s'ajoute la suspension du permis de conduire de trois à six mois.
Conduire en état d'ébriété : quand est-ce un crime ?
Un conducteur ivre au volant risque d'être arrêté si la teneur en alcool dépasse 0,8 g/l. En effet, si le taux détecté s'installe entre 0,8 g/l et 1,5 g/l, les pénalités sont nombreuses. Amende de huit cents à 3 200 euros. L'amende est portée du tiers à la moitié lorsque l'infraction est commise après vingt-deux heures et avant sept heures du matin, arrestation jusqu'à six mois, suspension du permis de conduire de six mois à un an. Si la teneur en alcool est encore supérieure à 1,5 g/l, vous aurez une amende de 1 500 à 6 000 euros. Également dans ce cas, majorée d'un tiers à la moitié si l'infraction est commise entre 22 et 7 heures du matin. L'arrestation de six mois à un an, suspension du permis de conduire de un à deux ans; la période de suspension est de deux à quatre ans si le véhicule appartient à une personne non impliquée dans le crime.